Lexique

Diversité génétique et spécifique des organismes vivants et diversité des écosystèmes.

Quantité d’une substance ou d’un élément au sein d’un milieu, d’un mélange.

Phénomène de dégradation des sols dans les zones arides à subhumides caractérisé par un climat sec, des températures élevées et un appauvrissement des sols. Ce phénomène est accentué par le changement climatique et l’activité anthropique.

Science qui étudie les organismes vivants, leur environnement et les interactions des organismes entre eux et entre les organismes et leur environnement.

Ensemble constitué d’un milieu naturel et des êtres vivants qui y vivent et leurs interactions.

Ensemble des éléments biologiques, chimiques ou physiques, qui se trouvent autour d’un organisme vivant.

Projet panafricain de lutte contre la désertification du Sahel. Pour cela, diverses espèces végétales sont plantées d’Est en Ouest de l’Afrique, le long de la zone sahélienne. Le projet implique les populations locales pour la plantation des végétaux, les pépinières, les jardins polyvalents ou encore les mesures de lutte contre les incendies.

Matière organique formant la couche supérieure du sol. Le humus est constitué de végétaux et d’animaux en décomposition et contribue à la fertilité du sol.

Concept défini par tous facteurs qui modifient fonctionnellement, qualitativement ou quantitativement l’environnement.

Toutes les activités économiques qui permettent de produire des biens matériels à partir de la transformation et de la mise en œuvre de matières premières mais aussi de l’exploitation de sources d’énergie.

Technologie capable de simuler l’intelligence humaine (raisonnement, planification, adaptabilité, etc.).

Un LabEx est la contraction de laboratoire d’excellence. Il s’agit du lauréat d’un appel à projet de recherche novateur. Le LabEx Dispositif de recherches interdisciplinaires sur les interactions hommes milieux (DRIIHM) est un LabEx qui soutient les OHM pour favoriser leur développement.

Végétal dont la tige est constituée de bois (arbustes, arbres, arbrisseaux).

Bande de terre bordant la mer à l’interface entre l’arrière-pays terrestre et l’avant-pays maritime.

Matière brute extraite de la nature qui sera exploitée soit directement soit après un processus de transformation pour l’obtention d’un produit fini.

Organisme vivant microscopique de nature diverse (virus, bactérie, champignon, protozoaire). Certains sont pathogènes tandis que d’autres indispensables à l’Homme.

Les OHM sont des outils d’observation des interactions entre la société humaine et son milieu. Chaque observatoire vise un territoire délimité et est composé de chercheurs qui étudient la société humaine, l’environnement et leurs interactions dans une logique interdisciplinaire. Il existe à ce jour 13 OHM à travers le monde.

Particule microscopique de moins de 2,5µm et en suspension dans l’air. Les particules fines sont souvent issues de la combustion. Leur petite taille leur permet d’entrer dans les alvéoles pulmonaires ce qui les rend nocives pour la santé.

Aptitude à provoquer une maladie.

Une plage peut être faite de sable ou de galets. Sur la zone littorale, la plage correspond à l’estran c’est-à-dire la zone comprise entre les hautes mers et les basses mers. Aux abords des points d’eau douce, la plage correspond à la rive d’un lac ou d’un fleuve.

Plage, naturelle ou artificielle, située en ville. Sur le littoral, elles sont adossées à la ville.

Précipitation anormalement acide souvent due à des sources de pollution anthropiques comme l’industrie ou naturelles comme le volcanisme. Elles ont des effets néfastes sur l’environnement tels que l’acidification des eaux et la mort ou la fragilisation de certains végétaux.

Mesure de la quantité de pluie tombée.

Un polluant est un élément de nature biologique, chimique ou physique (substances chimiques, ondes, déchets, etc.) qui est à l’origine de la pollution d’un milieu.

Altération d’un milieu par un élément de nature biologique, chimique ou physique (substances chimiques, ondes, déchets, etc.). La source d’une pollution est souvent anthropique mais peut aussi être naturelle.

Bien fourni par la nature et utilisé par l’homme pour ses besoins (eau, viande, pétrole, etc.). En fonction de sa nature, elle peut être renouvelable ce qui signifie qu’elle se régénère plus vite que son taux d’exploitation ou, dans le cas contraire, non renouvelable.

Processus de régénération d’un écosystème dégradé voir détruit assisté par l’Homme. La restauration écologique permet l’initiation ou l’accélération du rétablissement de l’écosystème.

Zone traversant l’Afrique d’Est en Ouest et limitée au Nord par le désert saharien et au Sud par la savane soudanienne.

Climat où la saison sèche s’étend sur la majeure partie de l’année et où l’apport des précipitations surpasse rarement l’évaporation.

Mode de vie combinant le sédentarisme et le nomadisme. La sédentarité s’exprime par un mode de vie fixe lié à l’agriculture et le nomadisme par de longs déplacements pour l’élevage des bêtes.

Se dit d’un climat situé entre le type aride et le type humide.

Phénomène naturel d’évolutions successives et graduelles d’un écosystème. Le type de l’écosystème est modifié au cours du temps en raison sa dynamique et en réaction à des facteurs internes et/ou externes. L’écosystème passera ainsi par différents stades modifiant à chaque fois sa composition en espèces végétales et animales mais aussi ses conditions physico-chimiques. Le phénomène se déroule sur des temps extrêmement longs.